Gaza, l’heure la plus sombre
L’armée israélienne lance une offensive terrestre sur une ville dévastée. Au même moment, une commission de l’ONU accuse Israël de génocide et Washington bloque la venue d’une délégation palestinienne.
Les Trois Glorieuses furent plus qu’une insurrection : un acte fondateur de la mémoire nationale. Elles disent aux générations présentes que le peuple français ne plie pas devant l’injustice, et qu’il saura toujours se relever pour défendre sa souveraineté.
« À la gloire des citoyens français qui s'armèrent et combattirent pour la défense des libertés publiques durant les mémorables journées des 27, 28, 29 juillet 1830. »
Telle est l’inscription que l’on peut lire au pied de la Colonne de Juillet, place de la Bastille à Paris. Cette colonne imposante, érigée en 1840 sur les ruines de l’ancienne prison, symbole de l’arbitraire royal, rend hommage aux héroïques combattants des Trois Glorieuses, ces journées révolutionnaires de juillet 1830 au cours desquelles le peuple de Paris se souleva pour renverser, une fois de plus, la monarchie absolue.
Sur le fût de la colonne sont gravés les noms de celles et ceux tombés pour la liberté. Je pense tout particulièrement au polytechnicien Louis Vaneau.
Au sommet, rayonnant au-dessus de la capitale, trône le Génie de la Liberté, majestueuse sculpture en bronze doré d’Auguste Dumont, tenant dans sa main droite la torche des droits et dans sa gauche les chaînes brisées du joug. Ce symbole puissant incarne une part profonde de l’identité française : le refus de la servitude, l’amour de la liberté, la force du peuple souverain.
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