Gaza, l’heure la plus sombre
L’armée israélienne lance une offensive terrestre sur une ville dévastée. Au même moment, une commission de l’ONU accuse Israël de génocide et Washington bloque la venue d’une délégation palestinienne.
Pollution des océans, paysages défigurés, coût exorbitant, fragilité du système électrique : les éoliennes en mer cumulent tous les défauts. L’Espagne en a payé le prix avec un blackout historique. La France doit choisir : continuer à s’aveugler ou redevenir une grande puissance nucléaire.
Depuis plusieurs années, les éoliennes en mer sont présentées par les gouvernements successifs et par certains lobbies comme une solution miracle pour assurer la « transition énergétique ». L’image est séduisante : de grandes turbines blanches, alignées au large, tournant au gré du vent pour fournir une énergie propre, durable, respectueuse de l’environnement. Mais la réalité est tout autre, et elle mérite d’être rappelée.
D’abord, un constat simple : les éoliennes en mer sont d’une laideur sans nom. Installées au large des côtes, elles défigurent les paysages maritimes, bouleversent l’horizon, impactent le tourisme côtier et suscitent un rejet légitime des populations locales.
Mais l’enjeu est plus grave encore. Contrairement au discours officiel, les éoliennes marines ne sont pas neutres sur le plan écologique. Un rapport récent de l’Ifremer a mis en évidence que les parcs éoliens en mer polluent les milieux marins :
Autrement dit : au nom d’une écologie « verte », on fragilise en réalité la biodiversité marine et on introduit une pollution chimique et physique durable dans les océans.
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