Gaza, l’heure la plus sombre
L’armée israélienne lance une offensive terrestre sur une ville dévastée. Au même moment, une commission de l’ONU accuse Israël de génocide et Washington bloque la venue d’une délégation palestinienne.
Sous couvert d’un « accord historique » avec Trump, l’Union européenne a cédé sans combattre : droits de douane, énergie chère, investissements forcés. Une capitulation commerciale qui confirme la vassalisation de l’Europe.
Il y a des poignées de main qui ont des airs de Montoire. Mais on ne peut pas dire cela, car ce serait comparer Trump à Hitler – ce qui est cocasse, puisque les européistes, von der Leyen en tête, comparaient Trump à Hitler il n’y a pas si longtemps (c’était évidemment ridicule).
France, été 1940.
Europe, été 2025.
Si comparaison n’est pas raison, il s’agit néanmoins d’une capitulation sans condition. Une capitulation qui a le goût d’une « étrange défaite »… Aucun combat n’ayant été livré.
La Chine a riposté aux attaques de Trump, paralysant quasiment la production automobile américaine.
Le Brésil riposte.
Les BRICS ripostent.
Même le Canada tente de résister.
« L’Europe puissance », elle, se couche, d’autant plus volontiers que la quasi-totalité de ses dirigeants ont, à un moment ou à un autre, été membres d’officines américaines où ils ont appris à servir, d’abord et avant tout, les intérêts de Washington.
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