Il y a des poignées de main qui ont des airs de Montoire. Mais on ne peut pas dire cela, car ce serait comparer Trump à Hitler – ce qui est cocasse, puisque les européistes, von der Leyen en tête, comparaient Trump à Hitler il n’y a pas si longtemps (c’était évidemment ridicule).
France, été 1940.
Europe, été 2025.
Si comparaison n’est pas raison, il s’agit néanmoins d’une capitulation sans condition. Une capitulation qui a le goût d’une « étrange défaite »… Aucun combat n’ayant été livré.
La Chine a riposté aux attaques de Trump, paralysant quasiment la production automobile américaine.
Le Brésil riposte.
Les BRICS ripostent.
Même le Canada tente de résister.
« L’Europe puissance », elle, se couche, d’autant plus volontiers que la quasi-totalité de ses dirigeants ont, à un moment ou à un autre, été membres d’officines américaines où ils ont appris à servir, d’abord et avant tout, les intérêts de Washington.
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