Cinquante ans après sa sortie, Barry Lyndon demeure un chef-d’œuvre intemporel. Stanley Kubrick y célèbre la splendeur d’un monde finissant, l’Europe de l’avant-modernité, et la tragique beauté de la condition humaine, avec une grâce inégalée. Un des plus grands films du cinéma mondial.
Au nom de valeurs qu’elle prétend défendre, l’Union européenne piétine l’héritage juridique et politique de l’Europe. La démocratie ne peut survivre à l’abandon du droit. En remplaçant la justice par la décision administrative, l’Union Européenne installe l’arbitraire comme mode de gouvernement.
Alors que les États-Unis assument une stratégie de confrontation avec l’UE, la France prolonge sa dépendance à Palantir pour son renseignement intérieur. Un choix lourd de conséquences, révélateur d’un abandon total de souveraineté.
Présentées comme une modernisation, les primaires ont transformé chaque camp en champ de ruines. Aucune n’a produit un président, toutes ont aggravé la démocratie minoritaire. Une importation américaine qui n’a fait qu’abîmer la vie politique française.
Depuis quinze ans, les primaires sont devenus courants dans la vie politique française. On les présente souvent comme une modernisation, une ouverture démocratique ou même une “révolution citoyenne”. Pourtant, elles ne sont qu’une imitation maladroite d’un système américain qui ne correspond pas à nos institutions. Au lieu de renforcer la démocratie, ces primaires importées ont affaibli les partis, créé de profondes divisions internes, choisi des candidats minoritaires sans véritable soutien populaire, et transformé chaque pré-campagne en conflit interne. À chaque fois, le résultat est le même : un candidat fragile, contesté, incapable de rassembler et battu dès l’élection nationale. Parfois, certaines petites organisations organisent même des primaires sans inviter les deux principaux candidats du camp, une simple opération de communication pour des micro-partis cherchant à exister médiatiquement. Le constat est clair : aucun candidat issu d’une primaire n’a vraiment gagné la présidentielle, et la seule exception, François Hollande, a fini par affaiblir son propre camp. Ce n’est donc pas un hasard, mais un problème de fond : les primaires, loin d’être un progrès, contribuent à l’émergence d’une démocratie minoritaire où quelques militants très actifs veulent décider à la place du pays. Avant d’en tirer des conclusions, il faut comprendre d’où vient ce système, comment il a évolué en France et pourquoi il produit toujours l’effet inverse de ce qu’il promet.
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Au nom de valeurs qu’elle prétend défendre, l’Union européenne piétine l’héritage juridique et politique de l’Europe. La démocratie ne peut survivre à l’abandon du droit. En remplaçant la justice par la décision administrative, l’Union Européenne installe l’arbitraire comme mode de gouvernement.
Dans un silence presque total, la France est entrée dans une phase de déclin démographique. Pour la première fois depuis 1945, le nombre de décès dépasse celui des naissances. Un tournant lourd de conséquences que les responsables politiques préfèrent ne pas regarder en face.
Invité de Quelle époque le 13 décembre, Jordan Bardella a multiplié les affirmations sur l'engagement social du RN. Nous avons confronté ses déclarations aux votes réels de son parti. Le décalage est systématique et colossale. « L'union des droites » l'a clairement remporté sur « l'union national ».
Donald Trump a imposé des sanctions, menacé et exercé une pression économique sur le Brésil. Lula n’a rien lâché. Au final, Washington a reculé sans obtenir de concessions. Cela montre clairement qu’avec les États-Unis, seule une politique ferme et souveraine fonctionne.
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