Gaza, l’heure la plus sombre
L’armée israélienne lance une offensive terrestre sur une ville dévastée. Au même moment, une commission de l’ONU accuse Israël de génocide et Washington bloque la venue d’une délégation palestinienne.
Sous couvert de modernisation, les greffes des tribunaux de commerce affichent des marges record tout en supprimant le contact humain. Dématérialisation, rejets en série et monopole opaque : enquête sur un système qui enrichit quelques-uns et décourage les entrepreneurs.
Sous couvert de service public, les greffes des tribunaux de commerce affichent des marges qui feraient pâlir d’envie n’importe quel groupe du CAC 40.
Selon un rapport révélé par Marianne, leur rentabilité moyenne a atteint 41,8 % entre 2018 et 2023, grimpant jusqu’à 53,5 % en 2023 pour la partie régulée du secteur.
En clair, sur 100 euros encaissés, plus de 40 filent directement dans la poche du greffier.
Résultat : plus d’un million d’euros de bénéfices annuels par office, pour chacune des 226 études recensées en France .
Pendant que des milliers d’entrepreneurs déposent le bilan, les greffiers, eux, déposent des dividendes.
Et tout cela dans la plus grande discrétion, grâce à un modèle opaque, protégé par l’État, et totalement verrouillé.
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