Gaza, l’heure la plus sombre
L’armée israélienne lance une offensive terrestre sur une ville dévastée. Au même moment, une commission de l’ONU accuse Israël de génocide et Washington bloque la venue d’une délégation palestinienne.
La GPA n’est pas un progrès mais une barbarie légalisée : exploitation des femmes, marchandisation des enfants et trafic de corps. Sous couvert d’égalité et de modernité, elle transforme la misère en business et détourne l’attention des vraies urgences sociales et économiques.
La GPA (gestation pour autrui), ce n’est pas de l’amour : c’est l’exploitation des femmes, le mépris des enfants et la marchandisation du vivant.
C’est un crime maquillé en modernité, une barbarie institutionnalisée.
Et c’est aussi un leurre politique destiné à manipuler le peuple.
Le petit marquis Gabriel Attal, chef des macronistes à l’Assemblée nationale, annonce vouloir engager une « réflexion » sur la GPA.
Les courtisans médiatiques saluent son « courage »,
les zélotes de l’égalitarisme présentent cela comme « le combat du siècle » pour l’égalité homme-femme, et les pusillanimes chuchotent qu’il y aurait « matière à réflexion ».
Or, il n’y a rien à réfléchir !
La GPA, c’est le capitalisme poussé jusqu’au crime : les pauvres portent les enfants des riches, et les nouveau-nés deviennent des produits livrés sur contrat. C’est la production industrialisée d’enfants censitaires. L’horreur.
On veut nous la vendre comme un « acte d’amour », mais en vérité, elle n’est qu’un crime social déguisé.
Derrière les discours policés, il y a des ventres loués, des corps de femmes réduits à l’état de matrices interchangeables, des vies humaines mises aux enchères.
C’est de l’esclavage moderne.
Créer un compte pour lire l'article complet et accéder à tous les contenus pour réservé aux abonnés.
S'abonnerRecevez chaque semaine nos analyses, enquêtes et vidéos directement dans votre boîte mail.