La GPA (gestation pour autrui), ce n’est pas de l’amour : c’est l’exploitation des femmes, le mépris des enfants et la marchandisation du vivant.
C’est un crime maquillé en modernité, une barbarie institutionnalisée.
Et c’est aussi un leurre politique destiné à manipuler le peuple.
Le petit marquis Gabriel Attal, chef des macronistes à l’Assemblée nationale, annonce vouloir engager une « réflexion » sur la GPA.
Les courtisans médiatiques saluent son « courage »,
les zélotes de l’égalitarisme présentent cela comme « le combat du siècle » pour l’égalité homme-femme, et les pusillanimes chuchotent qu’il y aurait « matière à réflexion ».
Or, il n’y a rien à réfléchir !
La GPA, c’est le capitalisme poussé jusqu’au crime : les pauvres portent les enfants des riches, et les nouveau-nés deviennent des produits livrés sur contrat. C’est la production industrialisée d’enfants censitaires. L’horreur. 
On veut nous la vendre comme un « acte d’amour », mais en vérité, elle n’est qu’un crime social déguisé.
Derrière les discours policés, il y a des ventres loués, des corps de femmes réduits à l’état de matrices interchangeables, des vies humaines mises aux enchères.
C’est de l’esclavage moderne.
 
  
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