Le mensonge de la GPA éthique

La GPA n’est pas un progrès mais une barbarie légalisée : exploitation des femmes, marchandisation des enfants et trafic de corps. Sous couvert d’égalité et de modernité, elle transforme la misère en business et détourne l’attention des vraies urgences sociales et économiques.

Le mensonge de la GPA éthique
Photo by Suhyeon Choi / Unsplash

La GPA (gestation pour autrui), ce n’est pas de l’amour : c’est l’exploitation des femmes, le mépris des enfants et la marchandisation du vivant.
C’est un crime maquillé en modernité, une barbarie institutionnalisée.
Et c’est aussi un leurre politique destiné à manipuler le peuple.

Le petit marquis Gabriel Attal, chef des macronistes à l’Assemblée nationale, annonce vouloir engager une « réflexion » sur la GPA.
Les courtisans médiatiques saluent son « courage »,
les zélotes de l’égalitarisme présentent cela comme « le combat du siècle » pour l’égalité homme-femme, et les pusillanimes chuchotent qu’il y aurait « matière à réflexion ».

Or, il n’y a rien à réfléchir !

La GPA, c’est le capitalisme poussé jusqu’au crime : les pauvres portent les enfants des riches, et les nouveau-nés deviennent des produits livrés sur contrat. C’est la production industrialisée d’enfants censitaires. L’horreur.
On veut nous la vendre comme un « acte d’amour », mais en vérité, elle n’est qu’un crime social déguisé.
Derrière les discours policés, il y a des ventres loués, des corps de femmes réduits à l’état de matrices interchangeables, des vies humaines mises aux enchères.

C’est de l’esclavage moderne.

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