Gaza, l’heure la plus sombre
L’armée israélienne lance une offensive terrestre sur une ville dévastée. Au même moment, une commission de l’ONU accuse Israël de génocide et Washington bloque la venue d’une délégation palestinienne.
Petit Bateau passe sous pavillon américain. Derrière les promesses de relance, un savoir-faire français menacé et des emplois en danger. Quand la France protégera-t-elle enfin ses marques et son patrimoine industriel ?
La nouvelle est tombée : Petit Bateau, la marque centenaire de vêtements pour enfants, passe sous contrôle américain.
Le Groupe Rocher a confirmé la cession de cette maison emblématique au fonds d’investissement californien Regent, déjà propriétaire de DIM en France et de plusieurs marques historiques à l’étranger .
Officiellement, il s’agit “d’insuffler une nouvelle dynamique” grâce aux moyens financiers et à l’expertise d’un acteur “spécialisé dans la relance de maisons patrimoniales” .
En réalité, c’est une histoire tristement banale : celle d’un savoir-faire français sacrifié sur l’autel de la mondialisation, et d’une marque qui risque fort de devenir une simple étiquette marketing apposée sur des produits fabriqués au moindre coût à l’autre bout du monde.
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