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Au nom de valeurs qu’elle prétend défendre, l’Union européenne piétine l’héritage juridique et politique de l’Europe. La démocratie ne peut survivre à l’abandon du droit. En remplaçant la justice par la décision administrative, l’Union Européenne installe l’arbitraire comme mode de gouvernement.
Alors que les États-Unis assument une stratégie de confrontation avec l’UE, la France prolonge sa dépendance à Palantir pour son renseignement intérieur. Un choix lourd de conséquences, révélateur d’un abandon total de souveraineté.
Le 10 novembre, à Athènes, Zoé Konstantopoulou a lancé le programme de CAP sur la Liberté dans une mise en scène inédite alliant des doubles numériques, des experts et un appel à la souveraineté populaire. Une Grèce meurtrie tente de reprendre son destin en main.
Ce 10 novembre 2025, Athènes nous a accueillis sous une lumière claire et vive qui donnait à la ville un air à la fois ancien et très moderne. C’est dans ce décor que le mouvement CAP sur la Liberté, ou Πλεύση Ελευθερίας, que Zoé Konstantopoulou décrit en français comme un véritable « trajet de liberté », a lancé son programme politique. La présentation avait lieu dans un lieu surprenant : une ancienne cuve de gaz transformée en salle de spectacle, un cylindre industriel devenu un amphithéâtre moderne. On avait l’impression que le passé énergétique de la Grèce servait désormais à porter une nouvelle force, celle du peuple. Avant l’événement, peu d’informations avaient circulé, à part la venue annoncée de personnalités intellectuelles de plusieurs pays, loin des habituels responsables politiques. L’absence de professionnels de la politique donnait d’ailleurs le sentiment qu’il ne s’agissait pas d’un lancement de campagne classique, mais d’une tentative de redéfinir l’espace démocratique. Dans cette ambiance pleine d’attente, le public hésitait entre curiosité et méfiance, car la scène politique grecque a été secouée ces dernières années par des scandales, des privatisations forcées, une forte paupérisation et des relations de plus en plus tendues avec les institutions européennes. C’est dans ce contexte, entre ruine et renaissance, que Zoé Konstantopoulou s’apprêtait à présenter un programme que son entourage voyait comme un acte politique fondateur : un projet pour redonner la parole au peuple, le remettre au centre des décisions et essayer de sortir la Grèce de l’ombre des mémorandums et du cynisme institutionnel.
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