Une vieille taxe devenue usine à gaz
La « copie privée » a été mise en place au début des années 1980 pour compenser les artistes quand leurs œuvres étaient copiées sur des cassettes audio ou vidéo à usage personnel. Avec le temps, cette taxe s’est étendue à de nombreux supports comme les disques durs externes, les clés USB, les smartphones, les tablettes, les box Internet et même certains serveurs professionnels. En 2024, elle a rapporté 246 millions d’euros, prélevés directement sur le prix des appareils que nous achetons. Pourtant, la plupart de ces appareils ne servent plus à copier de la musique ou des films. Un disque dur familial, un serveur de travail ou une clé USB utilisée pour des documents professionnels sont taxés de la même façon qu’un balestrtaxés la règle reste inchangée : si l’acheteur peut copier une œuvre, il doit indemniser les ayants droit.
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