Et si la reconnaissance de l’État de Palestine devant l’ONU était une diversion ?

À l’ONU, la Palestine et l’Ukraine monopolisent l’attention. Mais en coulisses, les BRICS exigent une réforme majeure de la gouvernance mondiale, pour un Conseil de sécurité élargi et moins dominé par l’Occident. Un enjeu crucial qui pourrait transformer l’équilibre des relations internationales.

Et si la reconnaissance de l’État de Palestine devant l’ONU était une diversion ?
Photo by Bernd 📷 Dittrich / Unsplash

La 80e session de l’Assemblée générale des Nations unies attire beaucoup l’attention des médias, surtout à cause de la possible reconnaissance de l’État de Palestine par des pays comme la France et le Royaume-Uni. Les journalistes se demandent quelle sera la position des capitales européennes, comment Israël réagira et quelles seront les conséquences diplomatiques. Ce thème devrait occuper une place centrale pendant toute la session. La question de l'Ukraine occupera le reste de l'attention.

Cependant, au-delà de cette attention médiatique, une question sans doute plus importante pour l’avenir des relations internationales risque de passer inaperçue. La session de l’ONU ne concerne pas uniquement la Palestine ou l'Ukraine. Elle commence alors que les tensions augmentent entre les pays occidentaux et le groupe des BRICS, qui accueille désormais de nouveaux membres comme l’Indonésie et la Malaisie.

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