Gaza, l’heure la plus sombre
L’armée israélienne lance une offensive terrestre sur une ville dévastée. Au même moment, une commission de l’ONU accuse Israël de génocide et Washington bloque la venue d’une délégation palestinienne.
Délocalisé à Fécamp, le centre des impôts des entreprises de Paris incarne une modernisation de façade : éloigner l’usager pour maquiller la dégradation du service. Distance, guichets fermés, contrôle affaibli : quand l’efficacité affichée détruit la proximité fiscale.
Nous avions déjà abordé, dans un précédent article, les aberrations liées à la dématérialisation des services publics, notamment dans les greffes des tribunaux de commerce.
Aujourd’hui, c’est un autre pan de notre administration qui révèle les dérives d’une modernisation de façade : les centres des impôts des entreprises.
Autrefois, l’organisation fiscale française avait un principe simple :
une entreprise était rattachée au centre des impôts le plus proche de son siège social.
Ainsi, une entreprise immatriculée dans le 15ᵉ arrondissement de Paris, comme Fréquence Populaire, dépendait logiquement d’un centre situé dans ce même arrondissement.
Cela garantissait une relation de proximité :
En somme, un système rationnel et efficace.
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