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Dans «Nos vingt ans », Clara Malraux retrace ses jeunes années aux côtés d’André Malraux, entre passion, aventure et effervescence littéraire. Récit d’une époque libre et fiévreuse, ce deuxième tome autobiographique dévoile une femme de lettres lucide et trop souvent éclipsée par son célèbre mari.
Récemment, j’ai tiré de ma bibliothèque Nos vingt ans de Clara Malraux. L’ayant lu il y a bien longtemps, j’ai eu envie de me replonger dans ce livre qui, dans mon souvenir, restait frappé du triple sceau de l’aventure, de l’engagement et de la littérature.
Clara Goldschmidt (1897-1982), mariée Malraux, publie Nos vingt ans en 1966.
Le livre s’inscrit dans un ensemble d’écrits autobiographiques intitulé Le bruit de nos pas, qui se compose au final de six tomes : Apprendre à vivre (1963), Nos vingt ans (1966), Les combats et les jeux (1969), Voici que vient l’été (1973), La fin et le commencement (1976), … Et pourtant j’étais libre (1979).
Dans Apprendre à vivre, l’autrice évoque sa jeunesse, sa famille, son milieu social.
Le dernier chapitre de ce premier volume se consacre à la rencontre, en 1921, avec André Malraux (1901-1976), futur grand écrivain, prix Goncourt 1933, intellectuel engagé et ministre des Affaires culturelles sous la présidence de Gaulle.
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