On l’annonçait comme un trophée de guerre économique : le Boracay, navire de la flotte fantôme russe, devait incarner la fermeté européenne. Résultat : une garde à vue, une convocation à Brest et un tanker qui file vers l’Inde. Tout ça pour ça.
De nombreux médias parlent de « sanctions internationales » contre la Russie. Or, il n’en existe pas. Seule une cinquantaine de pays, menés par l’UE et ses alliés, appliquent des sanctions, loin d’un consensus mondial.
La mort de femmes dans des hôpitaux à Agadir a déclenché une vague de révolte au Maroc. Les jeunes manifestent pour santé, éducation et la justice sociale.
Désindustrialisation, perte de souveraineté, crise de l’école : Chevènement et ses amis avaient tout prévu. Leur courant manque à la gauche et à la France. Nous voulons le faire renaître.
« Je ne m’attendais pas à voir, de mon vivant, la France menacée de disparition. Réalité sensiblement éternelle, Je pensais qu’elle me survivrait, comme elle a depuis des siècles, survécu aux générations ». Jean-Pierre Chevènement
L’avertissement récent de Jean-Pierre Chevènement dans l’ouvrage publié par la fondation Respublica doit désormais guider tous les patriotes sincèrement attachés à la place de le France dans le monde et à l’originalité de son message, comme force d’équilibre entre les empires.
Jacques Mandrin était le pseudo utilisé par Jean-Pierre Chevènement et Didier Motchane en 1967 pour dénoncer l’énarchie et ce qu’ils nommaient en 1969 la social-médiocratie. Ce pseudo a de nouveau servi en 1983 lors de l’écriture de l’ouvrage le socialisme et la France rédigé conjointement par Pierre Guidoni et Didier Motchane, qui dénonçaient déjà les risques d’alignement sur les canons de politique néo-libérale.
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